Jour 4. Ningsoin à Chetra Khola Camp
Aujourd’hui on traverse une région peu fréquentée. Tellement que le sentier n’apparaît sur aucune carte. Le lunch se fait sur des rochers près d’un torrent, et le sentier présente quelques passages délicats en après-midi. Le Camp en fin de journée est à 3000m.
Jour 3. Panggom à Ningsoin
Aujourd’hui, nous l’apercevons pour la première fois. Passé un col et au détour d’un sentier, le MERA Peak nous contemple (ou vice-versa). On voit les sommets Mera Nord (5476m), Central (6461m) et Sud (6064m). On se dirige dorénavant vers le nord, vers la vallée du Mera, dans une zone moins peuplée. On verra moins de ‘convois’ de porteurs qui font la navette entre les villages.
Jour 2. Chutok à Panggom
Deuxième jour, et on commence déjà on voir un ‘pattern’. Le matin on se lève très tôt et puis vers 8hres on se met en route. Ça monte, ça descend, ça monte, puis à un col on arrête pour le thé au lait. Puis on remet ça jusqu’au lunch, idéalement là où le cook et ses assistants peuvent avoir accès à de l’eau et une place pour cuisiner. Et puis l’après-midi on marche encore un bon 3 heures avant d’atteindre notre camp.
Nous sommes chanceux, l’air est doux et bon, il fait soleil. La paysage est ‘bucolesque’.
MERA Trek Jour 1. Lukla à Chutok
Un petit avion de 14 places nous ‘dépose en douceur’ sur la piste de Lukla, malgré une piste à 12% d’inclinaison, qui donne à cet aéroport une mauvaise réputation… Voilà, ça y est, c’est le début du trek!
On commence par se diriger vers le sud. Le ‘détour’ des prochains 4 jours sera bénéfique pour notre acclimatation, aussi bien physique que mentale. Moi je démarre vraiment malade, stratégie involontaire pour être en meilleure forme quand ça comptera vraiment! J’ai quand même pu prendre quelques photos…
Katmandou
Première journée en sol Népalais. Promenade à pied dans Katmandou. On doit s’habituer à la frénésie qui règne dans ses rues étroites, et à la pollution ambiante. Visite de du site de Swayambhunath au matin et de Durbar Square en fin de journée.
Népal 2013
Un trek au coeur de l’Himalaya! Un trek de 15 jours au total, qui nous mène vers le MERA Peak. Un sommet de 6476m accessible aux apprentis de la montagne, où nous serons entourés par les plus hauts sommets: Makalu, Cho Oyu, Lhotse, Kanchenjunga, Ama Dablam, Baruntse et Everest.
Le site Karavaniers indique pour ce voyage ‘effort engagé’ et ‘confort rustique’. Difficile d’être plus exact. On en a effectivement monté et monté, puis descendu et puis remonté des marches et des pentes abruptes chaque jour. Pauvres pieds. Quinze jour sans se laver et à dormir en tente humide et givrée. Faut tout de même être un peu givrés! Mais voilà ce qui compense largement: les décors sublimes, la découverte de nouveaux panoramas à chaque détour de sentier, l’accueil chaleureux de nos hôtes Népalais, la bonne humeur de notre équipe et de notre guide, la sensation de se dépasser à chaque moment, et bien plus.
Et puis le sommet? À ça, c’est toute une histoire!
Matériel photo:
– Nikon D5200, lentille TAMRON 18-270mm (voyage inaugural pour cet appareil)
– Canon Powershot Elph 300HS (camera compacte pour quelques clichés)
Balcon Nord – Montenvers
Pour compléter ma dernière journée, je suis parti du plan de l’aiguille (c’est le point intermédiaire du téléphérique Chamonix-Aiguille du Midi) jusqu’à la gare de Montenvers, en passant par le sentier du ‘Balcon-Nord’. Une balade d’environ 2h30 qui se termine sur un dernier coup d’oeil à la Mer de Glace, puis retour par le train à crémallière du Montenvers.
Aiguille du Midi – Téléphérique
Quelques photos de la station du téléphérique de l’Aiguille du Midi. Il faisait près de 4C en haut de l’aiguille, ce jour-là.
Traversée Helbronner – Vallée Blanche
Troisième série, des photos prises depuis la télécabine ‘Panoramic Mont-Blanc‘ qui relie la Pointe Helbronner depuis l’aiguille du midi. On parle de 5km au-dessus de la vallée blanche, jusqu’en Italie. Un exploit d’avoir pu installer ce téléphérique sans aucun pylône. Le trajet aller-retour a pris 1h30, le télécabine s’arrêtant fréquemment ce qui nous permet de bien observer l’immensité de la vallée et les quelques centaines d’alpinistes qui s’y trouvaient.
Mont-Blanc – 3 Sommets
Seconde série de photos prises principalement de l’aiguille du midi, qui suit les alpinistes dans leur ascension du Mont-Blanc par la voie des 3 sommets, celle que l’on devait faire. Avec un téléobjectif de 300mm, on arrive à bien voir à quel point ça aurait été cool d’être à leur place!
Aiguille du Midi – Arête
À ma dernière journée à Chamonix, le temps est radieux. J’ai refait le trajet en téléphérique jusqu’à l’aiguille du midi, pour photographier sous tous les angles la vallée blanche. Un peu jaloux de voir tous ces alpinistes qui profitent de conditions idéales pour attaquer le Mont-Blanc par les trois sommets. Voici une 1ère série de photos qui se concentre sur l’arête de neige qui permet l’accès à la vallée blanche. C’est ici qu’on est passé mercredi dernier, sous un tout autre climat.
Grand Paradis – 4061m
Nous démarrons notre ascension du Grand Paradis à 4h39 du matin. Alors que la plupart des groupes prendront la voie normale à l’aller et au retour, Laurent, notre guide, nous fait faire la montée par la variante de la moraine ‘Schiena d’Asino’, qui rejoint le trajet depuis le refuge Chabod. Nous allons ainsi remonter le glacier de Laveciau, un poil plus raide. Au retour nous allons boucler la boucle en descendant par la voie normale.
La température avant le lever du soleil est très confortable, nous sommes à l’abri du vent. Peu après le lever du soleil, par contre, alors que nous abordons le glacier Laveciau, le vent est beaucoup plus froid et nous enfilons nos gore-tex, ‘tuques’ et autres vêtements plus chaud en même temps que nos crampons.
Laurent nous fait monter le glacier à bonne vitesse, on dépasse plusieurs cordées. Nous atteignos le sommet à 8h46. Je comprends que c’était une bonne idée de faire vite, car il y a un grand nombre de cordées qui convergent vers le sommet, sur lequel on tient 4 ou5 à peine. En plus il faut négocier un passage délicat sur une petite corniche, et c’est pas le moment de s’emmêler dans nos cordes.
Nous sommes très content, en fait Marc et moi on est encore plein d’énergie. La température est très confortable pour cet exercice (-5C, probablement -10C avec le facteur éolien).
Après une collation sur un petit promontoire, on redescend par la voie normale. On sera de retour au refuge vers 11h00.
Refuge Vittorio Emanuele II
Puisque le Mont-Blanc nous est inaccessible, la décision est prise par les guides de s’éloigner du mauvais temps et d’aller faire l’ascension du Grand Paradis. C’est à deux heures de route de Chamonix, du côté Italien, dans la vallée d’Aoste. Sur place, on prend notre temps pour rejoindre le refuge Vittorio Emanuele (2735m) où nous dormirons avant de partir pour le sommet. Vu que tous ont eu la même idée, le refuge affiche probablement complet ce soir-là.
Brévent 2
Ayant le reste de la journée à notre disposition et une passe pour prendre les remontées de la vallée gratuitement, Marc et moi remontons l’autre côté de la vallée pour retourner sur le sommet du Brévent. De là, on prend un sentier qui mène en principe au refuge Bel-Lachat. Mais on est retourné sur nos pas avant de s’y rendre, car cette fois on ne voulait pas rater le téléphérique et se taper la descente à pied.
Stage Aiguille du Midi Cosmiques
Courte promenade en altitude de l’Aiguille du Midi jusqu’au refuge des Cosmiques. On devait faire les pointes Lachenal, mais le vent et le risque d’orage a écourté notre journée. Était-ce plus facile de descendre et remonter l’arête de neige en ne voyant pas trop bien de chaque côté? En tout cas par beau temps, c’est un passage impressionnant.
Stage Crochues
Deuxième jour de stage. On fera une ‘mise en application des techniques d’escalade mixtes’ en faisant la traversée des Crochues. C’est là que j’ai réalisé que les sommets des Alpes, c’est pointu! (contrairement aux volcans que j’ai gravi jusqu’à présent).
On nous a juste dit qu’il y aurait seulement un petit bout difficile au début, le reste étant considéré comme ‘facile’, mais tout est vraiment relatif! En tout cas pas question de prendre des photos lors de l’ascension d’une cheminée et la ‘course’ le long de l’arête des crochues (Marc en a quelques unes je crois). Un bout ‘intéressant’ fut lorsqu’on a dû traverser entre deux pics sur une petite corniche de 12 pouces de largeur donnant sur le vide, puis d’enjamber un muret et se laisser descendre dans le vide (bon, il y avait des prises pour les mains pour les plus expérimentés). Une chance que ma prescription n’est plus à jour et que je ne voyais pas clairement vers en bas! J’étais assurément plus crispé que nécessaire pour cette première expérience, mais je suis content de l’avoir accomplie. Heureusement, notre guide Laurent nous a rapidement mis en confiance, et on a appris énormément.
Après 3 heures de parcours, on est descendu pour luncher, pour finir par une descente en ‘ski bottine’ dans la neige pour rejoindre le Lac Blanc.
Stage Mer de Glace
Premier jour de stage avec les Guides de Chamonix. On s’initie à marcher sur glacier avec les crampons et à tenir notre piolet comme des vrais alpinistes! La surprise, c’est surtout comment accéder à la Mer de Glace, par des échelles. C’est que la glacier se retire, et il faut descendre pour l’atteindre depuis la gare du train de Montenvers.
Brévent 1
Pour une petite mise en jambes avant le début du stage, Marc et moi on décide d’aller faire une petite promenade sur les versants du Brévent. En fait une fois partis on a pas pu s’arrêter, et on a fini par marcher 8 heures!
Chamonix 2011
Le but de ce voyage était de se familiariser avec l’alpinisme là où le terme prend tout son sens: dans les alpes. Et ultimement faire l’ascension du Mont-Blanc par la voie des trois sommets, et de me sortir un peu de ma ‘zone de confort’. Au menu, stage de 5 jours offert par la Compagnie des Guides de Chamonix (fondée en 1821) pour se familiariser avec la progression en cordée, la marche avec crampons et piolet, etc… Bon, finalement les conditions et les risques d’avalanche nous ont empêché de faire ce sommet (on a grimpé le Grand Paradis à la place), mais la semaine a été très instructive et agréable.
Quito
Quito, la capitale de l’Équateur, impressionne par son étendue, et par la fait qu’elle se situe au pied d’un volcan encore actif. C’est une ville qui semble très dynamique, agréable à vivre. Son centre historique fait partie du patrimoine mondial de l’Unesco. En plus des photos du vieux Quito, que nous avons visité la veille de notre départ, les photos incluent quelques clichés pris du telefériqo que nous avons pris lors de notre ascension du Rucu Pichincha.
Cotopaxi
La fameux Cotopaxi devait être l’aboutissement du voyage, mais les éléments ont continué à jouer les trouble-fête. Il faut évidemment s’y attendre lorsqu’on parle de haute montagne. Le plus frustrant fut probablement qu’à peine quelques heures après avoir décidé de ne pas tenter son sommet, la pluie s’est soudainement arrêtée, et les nuages se sont écartés. Stéphane et moi avons tout de même poussé une pointe jusqu’au camp avancé, d’où l’on a pu voir le volcan dans toute sa splendeur. Partie remise se dit-on?
Chimborazo
Au départ nous devions faire un trek au pieds du Chimborazo, le plus haut sommet de l’Équateur. Suivant notre nouveau programme, nous venons seulement y faire une courte visite. Du premier refuge situé à 4800m nous avons fait une marche d’acclimatation dans la neige jusqu’à environ 5135m, pour ensuite revenir au refuge déguster une délicieuse fondue au fromage! On a pas vraiment vu la montagne, mais pour plusieurs c’était un record d’altitude très apprécié.
Tungurahua
Le volcan Tungurahua était particulièrement actif ce printemps (plusieurs centaines d’explosions de cendres à l’heure). Nous avons eu la chance de le voir dans toute son impressionnante splendeur.
Baños & Rio Verde
De Quito en fin de journée nous nous déplaçons plus au sud-est jusqu’à Baños, une autre ville très prisée pour ses bains thermaux, ses cascades et ses nombreuses activitées sportives (vélo de montagne, équitation). C’est également la porte vers l’Amazonie. Notre séjour s’y est allongé parce que la seule route pour en sortir a été bloqué par un ‘lahar’ qui est un écoulement de cendres volcaniques et d’eau, en provenance de Tungurahua, juste au-dessus de nos têtes.
Rucu Pichincha – 4698m
Journée dédiée à une marche en montagne facilement accessible de Quito. En effet la capitale est située juste au pied du volcan Pichincha, encore récemment actif (heureusement les dernières éruptions ont coulé dans la direction opposée à la ville). De 3200m à 4000m l’ascension est facile: elle se fait en téléphérique! Puis nous allons jusqu’au sommet du Rucu Pichincha (le vieux sommet), à 4698m d’altitude. Les nuages s’écartent assez souvent pour avoir de grandioses vues de la montagne et de la ville tout en bas.
Cayambe Glacier
Avant-midi magnifique et mémorable où certains d’entre nous allons au pied du glacier nous familiariser avec les crampons et le piolet. On rêve aux prochaines montagnes. En après-midi nous retournons à Quito.
Cayambe Refuge – 4600m
Début de notre nouveau programme. Le trek prévu autour du Chimborazo est annulé vu la persistence de la saison des pluies cette année. Nous nous retrouvons donc en après-midi sur le Cayambe. Le bus nous laisse à 4300m d’altitude et il ne reste plus qu’à rejoindre le refuge à 4600m, où nous allons passer la nuit. Au matin, le ciel est dégagé et nous permet de voir au loin les volcans Antisana et Cotopaxi, en plus du superbe glacier du Cayambe, juste à côté du refuge.
Otavalo
Retour à Otavalo. C’est samedi, jour du marché dans les rues de la ville, le plus grand de l’équateur. Nous visitons également le marché des animaux, aux limites de la ville.
Apuela
Repos bien mérité. Nous sommes dans une region touristique (Intag), connue pour ses eaux thermales, ses activités sportives, sa végétation luxuriante, mais aussi pour ses initiatives d’écotourisme et pour la prise de position de ses citoyens contre le développement de mines de cuivre, dont cette zone est riche. Nous visitons un producteur de plants de café équitable.
Trek Piñan 4
Le dernière journée du trek, qui nous ramène de Piñan vers la région de Intag, plus au sud-ouest, où un jeep nous attend. Longue journée où nous montons trois fois à 3200m pour ensuite descendre jusqu’au niveau de la jungle pour traverser une rivière. Les sentiers glissants nous rappellent à quoi sert le sens de l’équilibre. Même les chevaux ont de la difficulté, c’est tout dire.
Piñan
Piñan, est un village très isolé, géographiquement, mais aussi dans le temps on dirait. Ses habitants sont toutefois très accueillants. Nous visitons un peu le village. Le soir venu, c’est nous les visiteurs qui recevons le village entier à un souper communautaire. Souvenir impérissable.
Trek Piñan 3
La 3ème journée de trek est plus agréable et nous fait traverser une vallée grandiose. Nous arrivons au village de Piñan en début d’après-midi.
Trek Piñan 2
Deuxième journée de trek, sous une pluie fine intermittente. Cette fois nous lunchons à 4200m au pied du Yanaurcu de Piñan, que certains braves escaladerons (4535m). Les sentiers profonds, combinés au paramo détrempé et au poncho représentent un défi aujourd’hui.
Trek Piñan 1
Première longue journée du trek qui nous mène au village isolé de Piñan.
Du complexe de Chachimbiro (2640m), nous montons jusqu’à environ 3500m pour le lunch. Le soleil est présent, les vues sur les paysages en contrebas sont magnifiques. Puis en après-midi nous rejoignons le premier campement à 4000m.
Chachimbiro
En après-midi, direction les eaux thermales (d’origine volcanique, bien entendu) de Chachimbiro.
Pause appréciée avant le départ du trek du lendemain.
San Clemente
En fin de journée nous nous retrouvons à une heure d’Otavalo à San Clemente, petit village indigène situé au pied du volcan Imbabura. Nous sommes chez Manuel, qui avec sa femme Laura ont mis sur pied en 2000 un projet d’écotourisme-solidaire (Pukyu Pamba). Ici c’est Laura qui cuisine, mais c’est Manuel qui sera notre cuistot pour le trek qui s’en vient. Auto-didacte, il nous parle avec amour des diverses traditions Équatoriennes comme la Minga (système de corvées), il nous fera visiter son sentier de plantes médicinales. On fera même un petit peu de labours!
Lac Mojanda & Fuya Fuya – 4265m
Après une nuit passée à Otavalo, nous marchons aujourd’hui sur les pentes du Fuya Fuya (4265m), ancien volcan au pieds duquel se trouve le lac Mojanda à 3700m (en fait le lac Caricocha pour être plus exact). C’est notre première marche dans les hautes herbes que l’on appelle le páramo. La journée est humide, on étrenne nos nouveaux ponchos. Heureusement la vue se dégage une fois rendus au sommet.
Laguna Cuicocha
Nous sommes arrivés hier à Quito. Nous voilà déjà plus au nord, près d’Otavalo. Notre premiêre marche d’acclimatation nous amène à la Laguna Cuicocha. Ce lac de 3 kilomètres de large occupe un ancien cratère, situé au pied du volcan Cotacachi. Du stationnement (~3000m) nous montons pendant deux heures jusqu’à environ 3360m.
Ecuador 2008
L’Équateur est un petit pays très diversifié. Entre l’océan à l’ouest et le début de l’Amazonie à l’est se trouvent les Andes, et notamment ici une section que l’on a appelé l’Avenue des volcans, où se déroule ce voyage. Au programme: treks au bord de lagunes, de volcans, par de vastes étendues de paramo (hautes herbes andines), mais aussi rencontres avec les habitants, très attachants, et avec des gens qui ont à coeur leur pays, le tourisme et le développement durable…
Il y seulement que les éléments ne nous ont pas rendu la vie facile en ce mai 2008 particulièrement plus humide que prévu. Comme disait Ivan, le ‘Poncho de agua’ était le sponsor officiel du voyage. Dommage que l’épaisse couche nuageuse ne nous ait pas permis d’admirer tous les paysages, ni de tenter le Cotopaxi. La 2ème partie du voyage fut même passablement modifiée par rapport au plan initial, ce qui nous a tout de même permis de découvrir ou au moins tâter différents volcans (Cayambe, Pichincha, Chimborazo). On a même pu voir le Tungurahua (près de Baños) en pleine activité. Quant au Cotopaxi, ce n’est que partie remise, j’espère bien!
Mégantic 2008
Sortie en raquette au Mont Mégantic. La montagne fraîchement enneigée à nous tous seuls!
Machu Picchu
La cité Inca retrouvée. Vues de la cité lorsque nous débouchons de la porte du soleil, dodo à Aguas Calientes, puis visite en profondeur le lendemain.
Ollantaytambo
Cette ville est dominée par une impressionnante forteresse faite de nombreuses terrasses. Le site est stratégique, à la jonction de deux vallées.
Pérou • Mai 2007 • Trek Salcantay & Machu Picchu
Trek de 14 jours alliant nature et culture. Ce trek fut une initiation à la civilisation Inca. Nous remontons dans le temps tout en parcourant les vallées du Salcantay, la vallée sacrée de l’Urubamba et ses sites grandioses, puis le fameux chemin des Incas jusqu’au mythique Machu Picchu.
Livre – Photo
J’avais construit un livre-photo après ce trek. Le livre n’est plus accessible en ligne (Photoworks a fermé depuis), alors en voici les pages…
Tarangire
Parc National Tarangire. Site immense (100km de long) abritant une multitude d’espèces dont de nombreux éléphants.
Ngorongoro Crater
Safari au fond du cratère du Ngorongoro, site exceptionnel, faisant partie du patrimoine mondial de l’Unesco.
Tanzanie – Safaris 2005
Beaucoup de gens qui font l’ascension du Kilimanjaro terminent leur voyage avec quelques jours de safaris. Ce fut mon cas aussi, et cela en valait vraiment la peine. Les trois parcs que j’ai visité étaient très différents l’un de l’autre, et autant la faune que les paysages méritaient bien quelques clichés!! (bon bon, plusieurs centaines). En voici un certain nombre, qui donne une bonne idée de ce que j’ai pu voir…
Descente – Mweka Gate
Plusieurs milliers de pieds à descendre encore pour atteindre la porte de sortie, en passant par la jungle luxuriante et humide.
Descente – Millenium Camp
Toute bonne chose ayant une fin, il faut redescendre. 7000 pieds en quelques heures.
Lunch au camp Barafu, Nuit au camp Millenium.
Uhuru Peak
Après une nuit passée en altitude extrême, nous sommes en pleine forme pour atteindre le point le plus haut d’Afrique!
Western Breach – Crater Camp
La journée la plus difficile du voyage: il nous faut grimper près de 2500 pieds par le western breach pour atteindre le niveau du cratère.
Le manque d’oxygène rend la tâche exigeante. Visite du cratère en fin de journée.
Arrow Glacier Camp
Nous prenons la direction du venteux camp Arrow Glacier. Les vues et le coucher de soleil sont inoubliables.
Lava Tower Camp
Courte marche vers le camp situé au pied du Lava Tower, que nous grimperons en après-midi.
Moir Camp – Acclimatation
Une autre journée d’acclimatation. Nous grimpons le Lent Group en matinée. Première apparition du mont Meru.
Shira to Moir Camp
Une autre longue journée de marche nous rapproche des versants du Kibo (le sommet principal du Kilimanjaro).
Shira Camp – Acclimatation
Journée d’acclimatation. Nous allons marcher le long de l’arête du Shira.
Forest to Shira Camp
Une bonne journée de marche nous mène vers l’immense plateau du Shira, où nous passerons 2 nuits.
Londorossi Gate – Forest Camp
Trois heures de jeep sont requises pour se rendre au point de départ de notre trek, situé à l’extrême ouest du parc national du Kilimanjaro. De là nous marchons trois heures dans la forêt pour se rendre à notre premier campement.
Kilimanjaro 2005
Ce voyage fut pour moi la première expérience d’un long trek et de la haute altitude. En fait à 5895m (19340 pieds) on parle ici de très haute altitude puisque le taux d’oxygène est de 50% celui du niveau de la mer. Le choix du trajet pour ce trek visait à la fois à éviter les masses (ce trek est de plus en plus populaire) et à maximiser l’acclimatation en prenant le trajet le plus long. Je crois avoir été bien servi! Nous sommes passés par l’extrême ouest du parc du Kilimanjaro (voie Lemosho), puis nous avons traversé l’immense plateau du Shira, pour atteindre le sommet via le ‘Western Breach’, plutôt spectaculaire (Cette voie a d’ailleurs été fermée quelques mois plus tard, à la suite d’un éboulis meurtrier). Nous avons eu la chance de dormir au niveau du cratère, et d’arriver au sommet en pleine forme, si je puis dire (surtout à comparer aux quelques autres voyageurs rencontrés). Bref, une expérience qui m’a donnée le goût de récidiver!
Voyage effectué avec la compagnie Tusker Trail. C’est fort probablement la meilleure compagnie pour le Kili, qui prend la sécurité le plus au sérieux.
Photos prises avec une Canon Digital Rebel première génération (dont c’était d’ailleurs le baptême).
Note: Les altitudes dans mes notes sont souvent en pieds parce que je m’étais joint à un groupe d’américains.
